L’Art Nouveau porte une proposition : retrouver une place pour la nature dans la production industrielle. Le XXe siècle n’aura de cesse d’interroger le rapport du mécanique au vivant, de l’industriel au naturel, jusqu’à inverser cette proposition et définir une place pour l’artificiel au sein du vivant.
L’artificiel s’opposerait-il au divin ? Le mythe de Prométhée fuit-il en avant, à mesure que le progrès technique nous démontre l’étendue infinie de notre ignorance ? Pouvons-nous seulement prétendre que nous parvenons par nos productions, à transcender notre nature ?
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